• la mort


        Ah Vitalic c'est trop bien. J'voulais pas parler de musique aujourd'hui, mais comme j'suis en train de l'écouter tout en rédigeant mon post, j'suis obligé d'en causer un mot. J'adore, c'est vraiment génial. C'est d'la techno pas prise de tête, j'le conseil même à ceux qui aiment pas la techno en général.
        Bon aller j'voulais parler d'autre chose, de ma vie, encore me direz vous.
    Et oui je viens de faire avec succès ma dernière colle de l'année. Avec succès, parce que c'est la première fois depuis le début de l'année que je majore mon groupe de colle en maths (pour les non connaisseurs de l'argot taupin, que j'ai la meilleur note). J'ai eu 15 et les deux autres 12 et 13 je suis super heureux.
        Pendant la colle, je cherche mon exo au tableau. Je suis près de la fenêtre. Il ne reste que 5 minutes. Ouf me dis-je, le ciel est noir, ça tonne un peu, mais ça va il pleut pas. J'ai d'la chance je vais rentrer au sec. A la fin, on sort de la salle, on discute 5 minutes, et vers 17h10 je me dirige vers mon arrêt de bus. Par chance je l'ai tout de suite. Je monte, je m'assois, je regarde le paysage. Ah il commence à pleuvoir. Oh pas grand-chose, ça va. 10 minutes plus tard je descends. MERDE il pleut comme vache qui pisse dans un étang, olala la castaphiore (euh catastrophe désolé pour le lapsus). Vite vite je cours. Ça va, au passage piéton les voitures me laissent passer voyant ma détresse (extrême, vous imaginez). Moi, en petite chemise, à manche courte, sans manteau, sans parapluie, ouinnnnnnnnhhh !!! Je cours, je cours dans la montée. Au bout de deux minutes je peux plus. Je marche alors. Soudain une idée : je met mon sac sur la tête. J'ai l'air d'un abruti mais tant pis. 1 minutes plus tard, merde le sort s'acharne, par Toutatis, mais le ciel me tombe sur la tête, voilà qu'il se met à grêler, ralala les esprits sont vraiment contre moi aujourd'hui. Bon allez je suis bientôt arrivé, je recours. J'arrive chez moi, essoufflé comme un bœuf après le tiercé, trempé comme une grenouille des Dombes. Bon aller j'me dépoile un peu, je me met en pyjama, j'enlève mes chaussettes. Je presse ma chemise, j'en remplie un sceau d'eau (non là j'exagère). J'me pose 5 minutes. Mon sac trempé, je décide de l'étendre. Je l'ouvre. MERDE encore, décidément, Dame Fortune me fait bien des misères aujourd'hui. J'avais oublié de mettre mon cours dans mon trieur, alors forcément il était un peu en vrac dans mon sac, le haut de la première page tout blanc tout effacé, trempé. Bon ben j'ai plus qu'à l'étendre lui aussi, avec des pinces à linge.
        Moralité : demain j'emmène mon parapluie.

  • Commentaires

    1
    Lundi 13 Juin 2005 à 21:04
    Courage!
    Le récit de tes p'tites "tuiles" est amusant(je sais, c'est pas le but!). En attendant, je découvre ton blog et le trouve trés sympa. Je le met en lien sur le mien(si tu n'y vois pas d'objection). @u plaisir de te lire, Frédéric.
    2
    Maxman
    Lundi 13 Juin 2005 à 21:49
    si si
    si c'était aussi le but que se soit amusant
    3
    p'tibo nome
    Mardi 14 Juin 2005 à 19:52
    Du bol
    ah moi G eut + de chance : 13h : le ciel se noircit et ça tonne, il me reste encore 3h pour ramasser des cerises et atteindre les 100 kilos. 16h, on arrete et il ne pleut toujours paas, G pu atteindre les 107 kg de cerises. 16h05, il pleut des cordes, je suis à l'abri dans la voiture OUF, super journée Mr météo étè avec moi
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